samedi 31 décembre 2016

Vœux 2017, ENSEMBLE NOUS SOMMES FORTS.

Seulement par la solidarité nous sommes en mesure de poursuivre la lutte contre, des adversaires riches et puissants d'industrie éoliennes.


Donc Adhérez, non seulement à votre association, "Vent du Sud Morvan" mais aussi aux fédérations régional et national comme, l' ACBFC (association collective de Bourgogne et France Comté), le collectif de Saône et Loirela FED (fédération environnement durable), le VENT de Colère fédération nationale, etc.

Grâce à leur opposition nous pouvons gagné, et mettre un terme à la folie éoliennes industrielles.

Je voudrais ici remercier tous ceux qui se sont engagés volontairement  en 2016 pour avoir agir pour la protection de notre cadre de vie et nos paysages. Notamment les équipes: de la FED dirigé par: Jean-Louis Butré , de la ACBFC dirigé par: Michel de Broissia, l'énorme travaille effectué (dans notre combat quotidienne contre le projet éolien de Montmort) par le président de AVDSM Olivier Dubar.  Les experts Jacques Pieltin, et Jean Pierre Riou pour leurs connaissances dans le domaine des énergies renouvelables.

Espérons qu' en 2017 la population Française choisira  un nouveau gouvernement, qui suivra une politique de bon sens, que le développement  des énergies renouvelable (hydraulique, la biomasse,l'éolien, le solaire, les marées, etc.) doivent être perçu non pas comme une panacée, mais comme un secteur industriel porteur.

Espérons que, ce nouveau gouvernement mettra fin immédiatement à la subventions des énergies renouvelables, dont le surcoût atteint 5 Mds€ par an en France.

Espérons qu'ils utiliseront cet argent (5 Mds€ p/an) pour la recherche sur des solutions réelles, des solutions durables efficaces et pour un coût maîtrisé.  

Je vous souhaite une Bonne Année 2017, que les gens viendront à comprendre, on ne vas pas sauvé le monde avec" l'énergie renouvelable" au moyen éolienne ou solaire, en partie par la qualité de ce qui est intermittent et leur production aléatoire, leur totalité de la production de l'énergie électrique restera marginale. (1,1 % de la production totale d'énergie mondiale incl. géothermie). 

Cordialement Hans Wouters.

Si dessous le Vœux du président de la FED,
Bonjour,

En 2017, la  Fédération Environnement Durable combattra, avec tous les moyens légaux à sa disposition, les projets éoliens terrestres et offshores, et elle aidera localement les associations qui lui font confiance.
Elle continuera à dénoncer l’erreur stratégique d’implanter ces machines intermittentes,  ruineuses,
anti écologiques, dangereuses pour la santé, destructrices des paysages et du  patrimoine  de notre pays.

Elle combattra la « folie éolienne » qui corrompt  le tissu social et qui contribue à pourrir le système politique de la France au niveau national, régional et local.

Elle constate que depuis 2001 le sol de la France  est vendu parcelle après parcelle à des promoteurs éoliens soutenus par des fonds financiers opaques qui mettent progressivement sous tutelle le territoire.

Elle déplore que ce mécanisme mis en place, entraîne de nombreux agriculteurs qui ont des difficultés financières à accepter d’implanter des éoliennes et ainsi à se détourner de leur métier car ils n’ont plus comme ressource que cette solution ultime.

Elle dénonce ce système  économique qui conduit inexorablement à la disparition de l’industrie de production et de distribution de l’électricité de la France, à la faillite du groupe EDF et aux licenciements de dizaines de milliers d’employés. 

Elle appelle aujourd’hui solennellement  les candidats qui postulent en 2017 au poste de Président de la République à faire cesser immédiatement cette gabegie éolienne notamment en supprimant toutes les subventions directes ou déguisées, attribuées depuis plus de 15 ans, qui pénalisent lourdement les ménages, consommateurs d’électricité.

Elle informera ses adhérents des programmes de tous ces candidats,  et elle leur donnera les éléments pour contribuer à faire éliminer tous ceux qui conduisent à la ruine de notre pays.  Comme elle l’a fait pour les primaires de la droite, la Fédération Environnement Durable compte ainsi peser sur le vote des présidentielles, grâce à ses réseaux regroupant maintenant des dizaines de milliers de sympathisants.

Face à des adversaires aussi riches et puissants, qui se croient protégés, la Fédération Environnement Durable est uniquement composée de bénévoles mais comme les années précédentes l’ont prouvé, elle compte sur la solidarité de ceux-ci pour gagner ce combat.

Je vous présente tous mes vœux pour 2017
Cordialement

Jean-Louis Butré
PrésidentFédération Environnement Durable
http://environnementdurable.netcontact@environnementdurable.net

dimanche 25 décembre 2016

Êtes vous pour la réduction d'envergure de la part du nucléaire ?

Aux adhérents et sympathisants de la FED

Êtes vous pour la réduction d'envergure de la part du nucléaire ?
La FED n'a pas position officielle concernant le  nucléaire français mais  nous vous informons qu'un sondage concernant cette question est en cours sur  /Europe1/Lci/ JDD

http://www.lejdd.fr/Societe/Etes-vous-pour-une-reduction-d-envergure-de-la-part-du-nucleaire-834436
Ce sondage sera mis en avant lors de l'émission qui a lieu mercredi prochain ou les invités sont pratiquement tous connus pour vouloir arrêter cette filière énergétique et engloutir la  France sous des éoliennes.
Vous noterez sur le plateau la présence de Corinne Lepage ex ministre,  avocate des promoteurs,  que nous combattons depuis des années

Concernat ce sondage ,pour le moment les partis écologistes font la loi avec 57% de OUI

Merci de voter en fonction de vos convictions 
Cordialement
Jean-Louis Butré
Président
Fédération Environnement Durable

mercredi 14 décembre 2016

Thil sur Arroux

THIL sur ARROUX Conseil municipal du 25 novembre 2016

"Une attitude responsable et courageuse du Conseil municipal de Thil sur Arroux, qu'il convient de souligner! "


Le Conseil municipal réuni en séance ordinaire a :
Approuvé le compte rendu de la dernière séance.
Chargé le Centre de Gestion de souscrire pour le compte de la commune des conventions d’assurances pour couvrir les risques décès, accident, maladie professionnelle, maladie, longue maladie des agents.

Emis un avis défavorable au projet de construction d’éoliennes de Montmort considérant qu’il faut abattre des arbres pour permettre la construction – qu’il y aura un impact touristique négatif sur le tourisme vert – que la production d’électricité reste faible voir à la marge – qu’il faut élargir les infrastructures routière ou en créer de nouvelles et que le coût n’est pas chiffré – que les modalités de production et de distribution restent très opaques.


Décidé de renouveler les baux ruraux arrivant à échéance au 31/12/2016.
Décidé la création d’un emploi d’agent recenseur pour réaliser le recensement de la population en janvier 2017.
Pris acte de communications diverses.

dimanche 11 décembre 2016

vendredi 9 décembre 2016

On peut toujours installer des éoliennes dans des régions peu ventées,

 .....mais elles ne produiront pas beaucoup d’électricité »


A Montmort:   Après avoir reproché, dans le bulletin n°3,  au président de l'association « Vent du Sud Morvan » de divulguer des propos mensongers, ce n'est que timidement dans le bulletin municipal du 28 novembre que nous apprenons que les revenus de l'éolien pour la commune seront incertains " du fait du passage de la nouvelle communauté de communes en fiscalité professionnelle unique" sic. 

Heureuse nouvelle, que l’on aurait aimé connaître plus tôt ! Ceci était prévisible depuis la fusion des communautés de communes.

Encore un petit effort et tout le monde conviendra que l’association « Vent du Sud Morvan » est la seule à défendre les intérêts des habitants de Montmort.

Dans l’article ci-dessous, un promoteur éolien avoue que pour les zones peu ventées, les éoliennes produisent peu d’électricité.
Une seule question s’impose : Quand cette mascarade finira-t-elle et que l'on puisse réfléchir ensemble aux prochains projets de développement de notre commune ?
Olivier DUBAR

Voici un article publié sur le site REPORTERRE, le quotidien de l'écologie
Source : http://www.greenunivers.com/2009/06...

Dans l’éolien en France, tous les grands projets sont lancés, l’avenir est à la maintenance, explique Olivier Duguet, fondateur et ancien PDG de la Société Française d’Eoliennes, revendue au groupe d’énergie italien Sorgenia Spa en 2007. A la tête du  fonds Hanalei Finance, créé en septembre 2007 et  doté de 10 millions d’euros, il a pris des participations dans six sociétés, dont les prestataires Windtechnics et Wind Direct Services.
GreenUnivers - Comment jugez vous le marché français de l’éolien aujourd’hui ? Tous les grands projets d’éolien terrestre sont aujourd’hui lancés et je ne vois guère de nouvelles possibilités de développement. Les bons terrains très exposés aux vents, notamment dans le Massif central et la Vallée du Rhône, sont pris, avec des fermes déjà construites ou en projet. Aujourd’hui, avec plus de 900 MW installés en 2008, nous atteignons un total de 3 400 MW. Le potentiel du marché est de 6 à 7 000 MW, les objectifs du gouvernement de 12 000 MW me paraissent illusoires. On peut toujours installer des éoliennes dans des régions peu ventées, mais elles ne produiront pas beaucoup d’électricité. Sauf à miser sur des innovations technologiques pour améliorer la portée des turbines, qui pourraient leur permettre de tourner avec des vents de 5 mètres seconde.
GU - Vous avez pris des participations dans deux sociétés qui font de la maintenance, Windtechnics et Wind Direct Services. Est-ce là que vous voyez le plus de perspectives ? 
Clairement, oui. La maintenance est capitale : il faut compter, en moyenne, deux interventions de 60 heures par an pour qu’une éolienne tourne. Mais encore faut-il le faire au bon moment. Une turbine de 1,5 MW, la plus répandue en France, représente un investissement de l’ordre de deux millions d’euros et génère un chiffre d’affaires d’environ 10 000 euros par mois. Mais elle réalise l’essentiel de ce chiffre sur 4 jours seulement par mois, ceux où il y a le plus de vent. Autant dire qu’il ne faut pas les rater. Si une panne se produit la veille d’un grand pont ou s’il faut 15 jours pour trouver une pièce de rechange, la perte d’exploitation peut être importante. Et si c’est la première éolienne de la ligne qui s’arrête parce qu’elle a été frappée par la foudre, c’est toute la ligne qui est stoppée tant qu’on ne la réactive pas. Les services de maintenance 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 sont donc capitaux.
GU - Le vieillissement des parcs va-t-il faire émerger un marché ? Bien sur. Les installations sont encore très jeunes, mais elles vont vieillir vite. Les éoliennes de 3 MW ont des pales de 50 à 60 mètres avec un rotor d’une puissance de près de 120 MW. On a très peu d’historique sur ce type de matériel, la référence technologique la plus proche est celle des bateaux en fibre de carbone. Une éolienne est conçue pour durer vingt ans, en moyenne, mais beaucoup de ses composants ont une longévité qui ne dépasse pas 5 ou 10 ans. Aujourd’hui, la plupart des constructeurs offre à l’exploitant une garantie de deux ans d’une efficacité à 97% s’il y a du vent. Cela ouvre des perspectives pour couvrir les années qui suivent ! Or, il y a encore très peu d’entreprises sur ce segment de marché. Les principaux acteurs sur le marché français sont allemands et espagnols.
GU - Le recyclage peut-il aussi représenter une opportunité ? C’est moins évident, même si la loi française oblige les propriétaires à démanteler leurs éoliennes en fin de vie, avec une obligation de provisionnement qui sera compensée par les gains sur les matériaux recyclés. Une éolienne est à plus de 90% composée d’acier - entre 80 et 120 tonnes par éolienne quand on intègre les fondations et la tour - que l’on sait déjà très bien recycler. D’autres matériaux sont plus délicats à recycler comme la fibre de carbone. Et puis, il y aura tout un marché secondaire qui va se mettre en place pour des turbines d’occasion. Il peut y avoir des opportunités dans ce domaine.



lundi 5 décembre 2016

À vendre maison à la campagne, avec vue sur éolienne

 À vendre maison à la campagne, avec vue sur éolienne!


Claudine Delaunay et son mari Serge habitent l’allée des Tilleuls, à Brachy, (près de Dieppe) depuis 1980. Claudine a la sagesse des résignés. « Qu’est-ce que vous voulez qu’on fasse ? », questionne l’aide ménagère de 59 ans, « Ils ne les enlèveront pas, ça, c’est sûr ». La fenêtre de la chambre du couple donne sur un des cinq engins de 125 mètres de haut du parc de Brachy, installé en 2007. « On ne nous a pas demandé notre avis, alors qu’est-ce que ça change qu’on s’inquiète ? », grommelle Serge. Ce mercredi après-midi, elles ne tournent pas. « Ce n’est pas en hiver qu’elles dérangent le plus, reconnaît Claudine. Mais l’été, quand vous voulez lire en terrasse et que vous avez le bruit et l’ombre des pales, c’est minant... » Les éoliennes pivotent selon le vent. Lorsqu’il est d’ouest, elles sont dirigées vers la maison des Delaunay. « Le pire, c’est pour ceux qui veulent vendre, assure Claudine, on connaît des gens à Brachy qui ont perdu des sous, parce que les acheteurs ont beaucoup négocié à cause de la vue sur les éoliennes ». L’impact sur le paysage, « peu en ont conscience », regrette Jean-Michel Leforestier.



LES ÉOLIENNES,« ÇA BLOQUE UN PEU » 
Architecte à Luneray, il avait fondé en 2003, avec une dizaine « d’autochtones », l’A4CSV, l’Association des citoyens et contribuables de la communauté de communes de Saâne et Vienne. S’ils n’ont pas réussi, il y a neuf ans, à stopper la création du parc de Brachy, les membres de l’A4CSV ont deux succès à leur actif. « Nous avons fait sauter les projets de Royville et Lamberville », se félicite l’architecte de 66 ans. Celui de Lamberville devait voir une éolienne s’implanter « dans l’axe d’un château classé monument historique ». À Brachy, « les habitants ne se rendaient pas compte ». Guy Jousselin, de l’agence Jouss’Immo, a l’habitude des inquiétudes des potentiels acheteurs. Les biens qu’il propose à la vente sont essentiellement situés dans un rayon de 7 kilomètres autour de Luneray.« Ceux qui viennent acheter une résidence secondaire - les Parisiens, les Rouennais, et qui n’ont pas l’habitude des parcs éoliens ont un peu peur. » L’agent immobilier est installé à Luneray depuis 2011. Il prend l’exemple d’une maison de 110m² à Brachy : « elle a un point positif, sa belle vue dégagée, et un point négatif, la présence d’une éolienne à proximité ». Estimée à 150 000 €, elle perdra « entre 5 et 10 % de sa valeur » à la vente à cause des éoliennes. Cette baisse s’ajoute à « la règle générale des 10 % de ristourne négociables sur le prix d’une maison ». Le problème, « ce sont les gens qui avaient acheté leur maison alors que les éoliennes n’existaient pas, qui n’avaient rien demandé, et qui ont du mal à vendre... »Même les Hollandais, habitués des éoliennes et nombreux à être attirés par le pays de Caux, rechignent à investir. « Une maison proche d’un parc éolien mettra beaucoup plus de temps à se vendre, concède Guy Jousselin, ça bloque un peu ». La multiplication des projets en Normandie n’est pas pour rassurer. « J’ai vendu une maison à Quiberville, en prévenant l’acheteur de la rumeur de la construction d’un parc éolien », se souvient Guy Jousselin. « On verra bien », s’est résigné l’acquéreur. 

« L’ACHETEUR S’ENFUIT EN COURANT » 
À Fécamp, les cinq éoliennes du Cap Fagnet et le projet de parc en mer, de 83 machines, « n’ont pas d’impact sur les ventes », s’accordent Frédéric Blondel et Alain Coesnon, gérants des agences Laforêt et Maupassant. « Le problème se pose surtout en campagne », reconnaît le premier. « Ça gâche le paysage », déplore le second, rejoint par son confrère de Luneray : « Une éolienne, c’est impressionnant. On s’y habitue, mais on ne trouve jamais ça beau... » En plus des 165 éoliennes déjà actives ou en construction en Seine-Maritime et dans l’Eure, d’autres sont en discussion, notamment au Tilleul-Lambert ou sur la plaine de l’Étantot. À cheval sur les communes deSaint-Maclou-de-Folleville, Tôtes et Vassonville, ce projet de six éoliennes, prévu pour 2018, inquiète les professionnels de l’immobilier. Parmi eux, Sabine Leroy-Jay, responsable de l’agence Prism’Immo, basée à Auffay depuis 2000. « C’est évident que les maisons proches vont subir une importante décote », prévoit-elle. « Quand un acheteur arrive dans un village, comme à Montreuil-en-Caux où il y a des panneaux anti-éoliennes partout, il s’enfuit en courant ! » Des exemples, Sabine Leroy-Jay en a à profusion. « Il y a quatre ans, j’ai une vente qui a capoté à cause du projet éolien de Crosville-sur-Scie », rembobine la Normande. « La personne intéressée avait vendu sa maison parce qu’elle était proche d’une éolienne. » Il a refusé d’acheter : « Je n’ai pas vendu avec beaucoup de difficultés pour me retrouver avec le même problème », a-t-il justifié. Quatre ans plus tard, la demeure est toujours en vente. « Quand il s’agit d’un bien à 150 000 €, la moitié va fuir, l’autre moitié va négocier au moins cher, jusqu’à moins 30 % »,catégorise Sabine Leroy-Jay. « Certains clients sont prêts à mettre 400 000 € dans un bien, mais veulent zéro nuisance. » 
SIMON LOUVET

Le journal de l’époque

Le 28 juillet 2007, les 15 premières pales sont arrivées à Brachy. Le 18 août 2007, le Paris-Normandiesignale l’installation de la troisième des cinq éoliennes du parc exploité par la société Nordex et souligne la taille des machines. « Des éoliennes qui au final s’élèvent à 125 mètres et surprennent des habitants qui les découvrent dans un rayon de 20 à 25 kilomètres. » Le permis de construire a été délivré le 12 octobre 2006, les éoliennes sont en décembre 2007. « Il n’aura fallu qu’une année pour que le projet se concrétise », écrivions-nous. D’une puissance de 12 mégawatts, le parc de Brachy représentait alors un tiers de la puissance installée en Haute-Normandie en 2007. Fin 2015, la totalité des éoliennes haut-normandes a une puissance de 256 mégawatts. Chacun des quatre réacteurs de la centrale de Paluel a une puissance nette de 1300 MW.

source: http://www.paris-normandie.fr/actualites/economie/metiers-de-l-energie/a-vendre-maison-a-la-campagne-avec-vue-sur-eolienne-FM7619887#